Depuis 1570, à partir de la fin du mois de novembre,
Strasbourg s'habille en Noël
Quelques étalages prouvant qu'on est bien à Strasbourg
Quelques façades également
La cathédrale de Strasbourg, dont c'est le millénaire, est restée pendant longtemps, grâce à ses 142 mètres, le plus haut monument d'Europe
La crèche, son "avant" et son "après".
Le gynécologue de l'époque, un certain Gabriel, annonce à Marie qu'elle est enceinte.
Marie, qui n'a fauté qu'avec le Saint-Esprit, comme beaucoup de filles de son âge, promène son saint bedon tout rond.
La crèche est prète, la paille est fraîche, les premiers moutons commencent à affluer.
Ils seront 2,2 milliards deux mille ans plus tard.
Quelques étrangers (dont un jihadiste présumé) viennent rendre visite en apportant leur obole
et, comme dans le roi Lion, on présente l'enfant au peuple.
Un conte de noël est raconté sur la façade de l'Aubette, place Kléber.
Réfugié dans l'oscurité inquiétante d'une caverne glaciale, Timéo s'est inventé un monde à lui. Jusqu'au jour où des coups de boutoir venus d'en haut ne déchirent les parois de pierre de sa maison, dévoilant des éclats de lumière qu'il ne soupçonnait pas.
Dès lors, l'enfant s'aventure dans cette trouée, découvrant la cité médiévale de Strasbourg, grouillante du chantier titanesque qu'est l'édification de sa cathédrale, responsable de l'éboulement de son repaire.
En 1740 un arquebusier possède une boutique (Zum Eisernen Mann). Il tient une armurerie. Il décore la maison de la figure grandeur nature d’une sergent de patrouille municipale de la fin du XVIe.
L'original se trouve au musée historique de Strasbourg; une copie a été effectuée dans les années 1970, car il fallait que le symbole demeure : un sergent de ville veillant sur la cité.
Cet homme de fer singulier devant lequel passe quotidiennement un nombre considérable de tramways et de personnes est donc une ancienne enseigne de boutique.